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"Faut-il dépénaliser le cannabis en France ?" telle est la problématique de notre TPE!

16 février 2009

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29 janvier 2009

« Le haschich, comme toutes les joies solitaires,

« Le haschich, comme toutes les joies solitaires, rend l'individu inutile aux hommes et la société superflue pour l'individu.. Le haschich ne révèle à l'individu rien que l'individu lui-même..Celui qui aura recours à un poison pour penser ne pourra bientôt penser sans poison ; S'il existait un gouvernement qui eut intérêt à corrompre ses gouvernés, il n'aurait qu'à encourager l'usage du haschisch » Baudelaire


Coluche, lui, disait    « La drogue a fait cent morts l’année dernière, l’alcool cinquante mille ! Choisis ton camp, camarade ! »

27 janvier 2009

Vers une dépénalisation en France?

Le problème de la dépénalisation se pose tout naturellement devant l'ampleur du phénomène de banalisation du cannabis. D'un coté de ne pas légaliser cette drogue entretient le trafic illicite de cannabis et met les acheteurs de cannabis au contact de revendeurs potentiels de drogues plus toxiques. De l'autre, la législation donnerait une image très fortement positivée d'une substance toxique présentant des risques certains.

Peut-on, dès lors, organiser un cadre légal autour de la vente et de la consommation du cannabis?


DONNEZ NOUS VOTRE AVIS

SUR CETTE PROBLEMATIQUE!


Débat I-télé : "Le cannabis : addiction banale" animé par Baptiste Muckensturm 

Dépénalisation du cannabis : des avis partagés

27 janvier 2009

L'aspect moral de la dépénalisation

Il ne faut ni banaliser, ni diaboliser l’usage du cannabis chez les jeunes.

  • L'usage se fait aujourd'hui pour des raisons si diverses, allant du 'snobisme' au réel mal de vivre, que toute réaction immédiate est forcément inadaptée.
    S’il est important de ne pas banaliser l'usage du cannabis, le dramatiser est encore plus toxique que le produit lui - même. Cela aboutit généralement à semer la panique dans les familles. Et celles - ci risquent alors d’étiqueter un enfant comme drogué alors qu’il n’a fait qu’une expérience, peut être sans lendemain.

    Un dialogue serein ne peut plus alors s’installer dans les familles sur les réels inconvénients du cannabis ou pour réaliser par exemple que sa consommation révèle une difficulté de vivre.

  • Autre problème majeur : l’utilisation du cannabis à des fins médicales. Il faudrait en effet prouver ou nier par une étude sérieuse les effets bénéfiques du cannabis, en particulier au niveau de maladies de 1'oeil et du soulagement de la douleur chez les malades... Mais il est interdit de posséder ou de consommer du cannabis et réaliser une étude serait alors illicite alors que pour être crédible, elle devrait être licite. Il faut savoir qu’aux Etats - Unis, il y a environ un million de gens qui se soignent avec du cannabis et constatent des améliorations de leur état alors que les médicaments n’avaient plus aucun effet.

Mais dépénaliser l’usage du cannabis, n’est-ce pas laisser une porte ouverte à la libre circulation des autres drogues ? La dépénalisation du cannabis est une chose qui doit être réfléchie.

27 janvier 2009

Législation en France, en Europe et dans le monde

  • L'article 222-41 du code pénal nous dit que "constituent des stupéfiants (...) les substances ou plantes classées comme stupéfiants en application de l'article L 627 du code de la santé publique".

  • L'article L 627 du code de la santé publique énonce que "les conditions de production, de fabrication, transport (...), de détention, d'offre, de cession, d'acquisition et d'emploi des substances (...) classées comme stupéfiants par voie réglementaire sont fixés en décret par Conseil d'Etat". Cela signifie que ce sont des règlements qui déterminent les produits stupéfiants, donc interdits.

  • Pour le cannabis, l'article R 5181 du code de la santé publique nous apprend que "sont interdits la production, la mise sur le marché, l'emploi et l'usage: du cannabis, de sa plante et de sa résine, des préparations qui contiennent ou de celles qui sont obtenues à partir du cannabis, de sa plante ou de sa résine..."

La loi française interdisant la production, la détention, la vente et l'usage de stupéfiants a des sanctions plus ou moins sévères selon l'acte; à titre d'exemple, le simple usage peut conduire à une peine allant jusqu'à un an d'emprisonnement pouvant s'accompagner ou être substituée par une amende allant jusqu'à 3750€ ; le trafic, lui, pouvant conduire à la réclusion criminelle à perpétuité et 7 500 000 € d'amende. L'autoproduction de cannabis est considérée comme telle dès lors que l'on possède ou que l'on s'occupe régulièrement d'une plante, male ou femelle. La sanction maximale encourue est une peine d'emprisonnement pouvant atteindre 3 ans et jusqu'à 50 000€ d'amende.

Les peines prévues par la loi sont donc très lourdes, elles concernent le cannabis au même titre que les autres drogues, comme l'héroïne.
Il faut apporter une distinction entre le simple consommateur et le vendeur de cannabis. Quelqu'un qui sera arrêté en possession de cannabis ne sera jamais condamné à de telles peines; mais il est tout de même possible de passer devant un tribunal. Tout dépend de la quantité de cannabis en sa possession. Mais le vendeur de cannabis, c'est à dire le dealer, s'il est arrêté, sera très probablement condamné à une peine de prison.

Cette application approximative de la loi, qui est en fonction tant des individus (juges et prévenu) que des localisations géographiques (tolérance plus grande en ville), pose régulièrement le problème de la révision de cette loi.

C'est aussi cette même loi qui garantit l'anonymat et la gratuité des soins pour les usagers désireux de se soigner. En revanche, les usagers de cannabis arrêtés en flagrant délit devront participer à des stages de prévention pouvant coûter jusqu'à 450 euros. Il s'agira de sessions de formation de deux jours, durant lesquelles médecins, psychologues ou policiers évoqueront les dangers pour la santé du cannabis et son implication dans des accidents de la route, explique au quotidien Le Parisien le président de la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et toxicomanies (Mildt), Etienne Apaire.

Depuis la loi de 2007 sur la récidive ou loi Dati, des peines plancher sont applicables aux récidives. En pratique, l'achat de 2 grammes de cannabis pour sa consommation personnelle, par une personne considérée par la loi comme récidiviste conduit ainsi à une peine plancher de 4 ans ferme.

En résumé, le cannabis est considéré comme un produit stupéfiant et le fait d'en cultiver, consommer est condamnable par de lourdes peines. Mais dans les faits, si quelqu'un se fait arrêter (pour simple détention), les risques sont plutôt de se faire admonester, et il ne devrait pas y avoir de condamnation par un tribunal pour une consommation ou une détention d'une faible quantité de cannabis.

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Légaliser: action de rendre légal (conforme et défini par la loi).

Dépénaliser: action de faire disparaître le caractère pénal qui était attribué à une infraction.

  • Le fait de dépénaliser les drogues, cela revient à ne plus soumettre à des sanctions pénales, tout en maintenant un dispositif pénal prégnant sur la vente et le trafic de celui-ci. La consommation reste cependant interdite mais on n'encoure plus de sanctions type amende, prison.

  • La légalisation quand à elle est un dispositif qui rend légal, et donc non soumis à quelque poursuite judiciaire que ce soit, la possession, l'usage et la vente de cannabis.

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27 janvier 2009

Consommation chez les adolescents

Avec 5 millions de fumeurs de joints occasionnels et 1,2 de consommateurs réguliers, la France bat des records en Europe.

Le gouvernement francais, qui ne souhaite pas dépénaliser l'usage, constate que les politiques de santé publique ne semblent pas avoir été efficaces jusquà présent pour endiguer cette progression, en particulier chez les jeunes.

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Pour la première fois, l'Office français des drogues et des toxicomanies (OFDT) publie une synthèse sur le cannabis: expérimentation, prix, dangers, répression, autoculture... . Cette "bible du chanvre" compile toutes les données épidémiologiques, scientifiques, médicales et sociologiques. Une synthèse inédite permet de dresser un portrait complet du chanvre en France. 

Les chiffres de l'OFDT place la France parmi les pays les plus consommateurs de cannabis en Europe, avec la République tchèque, l'Espagne et le Royaume-Uni : 12,4 millions de personnes âgées de 12 à 75 ans déclarent avoir consommé du cannabis au moins une fois dans leur vie et 1,2 million sont des consommateurs réguliers dont 550 000 usagers quotidiens.

En 2005, 49,5 % des jeunes de 17 ans déclarent avoir expérimenté le cannabis, en moyenne à 15 ans. Toujours chez les 17 ans, 10,8 % en ont un usage régulier (au moins 10 fois par mois) : 15 % des garçons et 6,8 % des filles. A 17-18 ans, la moitié des usagers réguliers sont considérés comme problématiques (troubles de la mémoire, manque d'énergie, dégradation des relations avec les proches, conduite sous l'influence du cannabis, signe de dépendance potentielle...).
L'expérimentation du cannabis a largement progressé dans les années 1990, tant en proportion qu'en précocité. Mais depuis 2002, ces chiffres se sont stabilisés. Seule la proportion des consommateurs réguliers a augmenté, passant entre 2000 et 2005 de 3,8 à 5,9 %.
Les adolescents et les jeunes hommes (moins de 35 ans) sont les principaux consommateurs. Ce rapport permet également de lutter contre l'idée reçue selon laquelle cette drogue serait plus consommée dans les milieux populaires que dans les milieux favorisés.

Pour se fournir, les amateurs de cannabis ont recours au don (58,7 %), à l'achat auprès de proches ou de dealers (36,8 %) et à l'autoculture (5 %). Alors qu'il y a quelques années, cette pratique était confidentielle, elle est en plein essor, y compris dans des zones urbaines. Selon l'OFDT, ils seraient près de 200 000 à avoir ainsi la main verte...

Parallèlement, le prix moyen d'un gramme de cannabis a baissé en dix ans de près de 30 %. Il est aujourd'hui de 4 euros. Celui du gramme d'herbe est d'un peu plus de 5 euros (soit la moitié de ce qu'il valait il y a 10 ans). Le budget moyen d'un usager consacré à l'achat de cannabis se situe entre 80 et 150 euros par mois.

Le chiffre d'affaires estimé du cannabis en France serait ainsi de 832 millions d'euros. Même si certains s'offusqueront de la comparaison, on peut rappeler que ce chiffre reste sans comparaison avec celui du tabac 13,7 milliards d'euros ou l'alcool 14,2 milliards d'euros).

Usages de cannabis à 17 ans (%) 

Bretagne
(Escapad 2005)

Bretagne
(Escapad 2002/2003)

Métropole
(Escapad 2005)

Garçons

Filles

Ensemble 

Ensemble

Garçons

Filles

Ensemble

Expérimentation

67

61

64 

65

53,1

45,5

49,4

Usage régulier

18

10

14 

16

15,0

6,3

10,8

Parmi les jeunes interrogés en 2005, 67 % des garçons et 61 % des filles déclarent avoir déjà consommé du cannabis au cours de leur vie. L'usage régulier, qui est stable par rapport à l'enquête 2002/2003, concerne 14 % des jeunes Bretons, avec une nette prédominance masculine (18 % des garçons et 10 % des filles). Dans la région, les niveaux d’usage du cannabis apparaissent supérieurs à ceux observés sur le reste du territoire métropolitain.

Classement de la région pour les principaux indicateurs à 17 ans 

Bretagne
(%)

Classement en métropole
(sur 22 régions)

Métropole
(%)

Cannabis - Usage régulier *

14

1

10,8

* au moins 10 fois lors des 30 derniers jours                              

                                 Source : Escapad 2005, exploitation Bretagne, OFDT 

25 janvier 2009

Quels effets sur la santé?

Plus la teneur en THC est grande, plus les effets sur l’individu seront importants.

Les effets immédiats varient d'une personne à une autre, en fonction de la quantité consommé mais aussi du contexte de consommation. Les consommateurs recherchent et décrivent un état de détente, d'euphorie et une modification des perceptions. (Ex: Sensation de mieux entendre la musique).Les émotions et les sentiments sont souvent ressentis plus intensément, mais les effets recherchés ne sont pas toujours obtenus.

Dans certains cas, le consommateur de cannabis peut connaître une expérience désagréable, le "bad trip" *, due la plupart du temps à une absorption trop importante de produit. Mais il peut aussi se produire lorsque le consommateur ne se sent pas très bien physiquement ou psychologiquement au moment ou il consomme. La personne peut avoir des tremblements, des sueurs froides, la nausée et parfois vomir. Elle peut aussi ressentir une impression de confusion, d'étouffement, une angoisse très forte et un sentiment de persécution. Ce malaise peut aller jusqu'à la perte de conscience. Il est toutefois important de dire qu'il n'existe pas de risque de mort par overdose de cannabis.

Les effets irréversibles sont nombreux. Consommer du cannabis n'endommage pas le cerveau mais provoque un effet sur la mémoire immédiate et diminue la capacité à apprendre des choses nouvelles et à s'en souvenir. Cela modifie aussi la perception visuelle, la vigilance et les réflexes. Ces effets sont réversibles à l'arrêt de la consommation.

La consommation de cannabis peut entraîner un certain nombre de troubles psychiques comme l'anxiété, la panique et favorisé la dépression. Elle peut aussi favorisé l'apparition d'une psychose cannabique: il s'agit d'un désordre mental caractérisé par des hallucinations, des idées délirantes nécessitant une hospitalisation de quelques semaines en milieu psychiatrique. Le cannabis est également susceptible de révéler ou d'aggraver les manifestations d'une maladie mentale grave, appelée schizophrénie. Selon des études récentes le cancer du poumon est plus précoces chez les consommateurs de cannabis. La fumée du cannabis contient plus de substances cancérigènes que celle du tabac: elle est donc toxique pour le système respiratoire et peut favoriser le cancer du poumon, comme de la gorge. Enfin consommer du cannabis modifie le rythme cardiaque et peut être dangereux pour les personnes souffrant d'hypertension ou de maladie cardio-vasculaire.

*  Le "bad trip", (de l'anglais, littéralement: "mauvais voyage") est une mauvaise expérience liée à la prise de drogues. Il correspond à une intoxication aiguë.

25 janvier 2009

Comment est-il consommé?

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Il se présente sous plusieurs formes:

  1. l'herbe (marijuana, ganja, beuh...). Ce sont les tiges, les feuilles et les fleurs séchés du chanvre. Sa couleur peut aller du vert au brun. Son odeur est forte. Elle contient entre 1% et 5% de THC. Certaines espèces néerlandaises cultivées en intérieur peuvent atteindre les 30 % de THC.                                                                                                    

  2. la résine (haschich, hasch, shit, chichon...). C'est sous cette forme que le cannabis est le plus consommé en France, mélangé à du tabac. Elle à l'aspect d'une pate compacte de couleur brune, noire ou beige. Elle se présente généralement sous forme de barrettes ou de boulettes, emballées dans du papier d'alluminium ou du film plastique. La teneur en THC du haschich varie entre 5 et 12 %, mais peut monter parfois jusqu’à 40% de THC.

  3. l'huile. Il s'agit d'un liquide visqueux et goudronneux, vert foncé, marron ou noir. Les huiles sont généralement déposées sur le papier à cigarettes ou ajoutées aux joints pour en augmenter la puissance. En France, son usage est très rare. Sa contenance de THC est la plus élevée des trois, elle peut aller jusqu'à 60%. Il est rajouté au joint pour augmenter la concentration de THC.

24 janvier 2009

Le cannabis, qu'est ce que c'est?

C'est une plante, appelée également chanvre* qui existe sous différentes formes. C'est le chanvre indien qui est un psychodrame et à ce titre, est utilisé comme une drogue. Introduit en Europe au 19ème siècle, ce n'est qu'au 20ème siècle que son usage a été interdit par la loi.

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* Le chanvre est une grande plante herbacée annuelle qui mesure de un à trois mètres de haut. Elle est dioïque, c’est à dire que les fleurs mâles et femelles se trouvent sur des plants différents. Le chanvre appartient à la famille des Cannabacées (Cannabinacées) qui outre le genre Cannabis ne comporte que le houblon (genre Humulus). La plante présente des tiges dressées et des feuilles alternes, palmées, comportant de 3 à 9 folioles dentés. Les fleurs sont petites, de couleur verte. Les fleurs mâles forment des bouquets ramifiés alors que les fleurs femelles forment des épis. Les fruits secs, des akènes comportant une seule graine, sont enrobés dans une bractée florale persistante. C’est une plante résineuse, la résine étant sécrétée par des poils glandulaires particulièrement nombreux au niveau des sommités fleuries.

La principale molécule active du cannabis est le THC (tétraydrocannabinoltétraydrocannabinol). Il est responsable des effets du cannabis sur le système nerveux, il peut modifier la perception et les sensations. La teneur en THC varie selon les produits consommés. Le cannabis cultivé aujourd'hui est souvent plus concentré en THC que celui onsommé dans les années 70-80. Effectivement le cannabis mit en vente aujourd'hui n'est plus le même que celui de Mai 68 et de la mode hippie: le pourcentage de teneur active, de THC et surtout de substances toxiques est cinq fois plus élevé qu'il y a 20 ans. Une feuille en contient normalement 2 à 7%, avec les nouvelles cultures Hollandaises 'Nederweit' on monte jusqu'à plus de 30%. Un joint d'aujourd'hui n'a rien à voir avec ceux d'hier.

Généralement on qualifie le cannabis de drogue douce (plus ou moins douce selon le taux de THC) pour deux raisons:

  • Premièrement car son utilisation n'entraîne ni d'accoutumance, ni de dépendance particulière (physique).

NB: Durée de vie du cannabis dans le sang: 4 jours (alcool: 6heures)

  • Deusièmement car l'effet produit par le cannabis est généralement moins fort que celui des autres drogues (ex: ecstasy, héroïne, cocaïne...): fumé, il apporte une sensation d'euphorie, d'ivresse, l'individu est complètement détendu.

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Un joint* et une feuille de cannabis

* En argot, un joint est une cigarette roulée à la main avec du papier à cigarette contenant le plus souvent du cannabis (herbe ou résine) mais qui peut aussi contenir d'autres substances psychotropes. Le mot provient de "to join" en anglais (rassembler, joindre un groupe). Il comporte aussi de nombreuses autres appellations telles que "oinj" en verlan, "spliff", "stik", "bédo"(de bédave), "pétard"...

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La fumée d'un joint de cannabis contient 7 fois plus de goudrons et de monoxyde de carbonne que celle du tabac. C'est ce qui ressort des tests effectués, qui affirment que fumer 3 joints équivaut à fumer 1 paquet de cigarette.

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"Faut-il dépénaliser le cannabis en France ?" telle est la problématique de notre TPE!
  • Lorsqu' on parle de dépénalisation du cannabis, tout le monde est divisé. Le débat fait rage sur la dongerosité du produit , sur ses effets bénéfiques ou maléfiques . Alors, pour ou contre ?
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"Faut-il dépénaliser le cannabis en France ?" telle est la problématique de notre TPE!
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